Membres de la confrérie des Mourides – la plus importante du Sénégal en termes d’influence -, les Baye Fall se définissent comme les anges gardiens du mouridisme. Photoreportage.

M’Baye Rassoul Kara. Les dreadlocks sont emblématiques chez les Baye Fall. Elles symbolisent le travail, la sagesse et la spiritualité./Photographie : Clémentine Pawlotsky.
Ahmed Rassoul Kara. Le port des dreadlocks n’est pas obligatoire chez les Baye Fall. On est d’abord Baye Fall dans le coeur/Photographie : Clémentine Pawlotsky.
Le ndombo batt (« collier de cou », en wolof) traditionnellement porté par les Baye Fall. À l’intérieur du collier se trouve des tallisses (écrits coraniques, en wolof) protectrices/Photographie : Clémentine Pawlotsky.
Pouce contre index, trois doigts en l’air, ce signe distinctif propre aux Baye Fall est le symbole d’Allah (Dieu)/Photographie : Clémentine Pawlotsky.
Ousmane Noreyni Gueye, en route vers la ville sainte de Touba, dans la région du Baol, berceau du mouridisme/Photographie : Clémentine Pawlotsky.
À droite, Cheikh Ahmadou Bamba Seligne Touba, fondateur du mouridisme. À gauche, Cheikh Mame Thierno Birahim, son petit frère, connu sous le nom de Borom Darou./Photographie : Clémentin Pawlotsky.
Clémentine Pawlotsky

 

Pour retrouver l’ensemble des épisodes de la série sur les Mourides

Talibés, la voie de Dieu

Baye Fall: missionnaires de l’Islam mouride

Le chemin spirituel des jeunes Baye Fall

Deux toubab à Touba

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