A Dakar, mieux vaut s’accrocher pour suivre la frénétique cadence des modes dansantes. Pas un mois ne se passe au Sénégal sans qu’une nouvelle chorégraphie envahisse les réseaux sociaux, grâce aux jeunes, colporteurs numéro un de rythmes enflammés.
A Dakar, mieux vaut s’accrocher pour suivre la frénétique cadence des modes dansantes. Pas un mois ne se passe au Sénégal sans qu’une nouvelle chorégraphie envahisse les réseaux sociaux, grâce aux jeunes, colporteurs numéro un de rythmes enflammés.